SR400
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freddy.lombard
freddy.lombard
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LA YAMAHA SR400 EFI DANS LA PRESSE FRANÇAISE Empty LA YAMAHA SR400 EFI DANS LA PRESSE FRANÇAISE

Sam 4 Juin - 14:48
L’article qui suit est la synthèse de 18 essais effectués par des journalistes essayeurs  professionnels ou motards aguerris. Les comptes-rendus des essais ont paru dans 3 supports de presse historiques et sur les principaux sites internet dont c’est la vocation.

J’essaierai plus tard d’apporter des éléments objectifs issus des données fournies par le constructeur, et, enfin, d’apporter modestement mon grain de sel en tant que conducteur (« pilote » serait un poil prétentieux).


I. L’esthétique

Tous s’accordent sur ce point et ne tarissent pas d’éloges et de superlatifs.
Moto Journal évoque une frimousse à croquer, de belles jantes rayonnées et du charme à revendre.
Moto Revue la trouve irrésistible, belle et essentielle.
Moto-Station lui prête une ligne aérée et proportionnée, allant jusqu’à  « craquer pour la beauté du moteur ».
Moto-Infos « s’attendrit à la vue de ses gros clignotants ronds, des commodos old school ou des soufflets protégeant la fourche et l’articulation des leviers, et admire cette profusion de métal chromé qui brille et réjouit le cœur ».
Pour Motor-Info.tv elle est jolie et attachante et pour Moto-Net elle tape dans l’œil et elle est craquante par bien des aspects.
C’est l’esprit d’origine qui est mis en avant par Motoservices comme par Vrooom.be qui parle d’une une moto « comme avant », c’est à dire un cadre en tubes d'acier, deux roues de 18", un moteur bien visible, un gros phare rond, deux compteurs, un guidon, un réservoir, une selle, de vrais garde-boues, en bonne tôle bien chromée, une taille humaine et un poids mesuré.
Dans la même veine, Moto Caradisiac évoque une véritable ancienne, quasi identique à celle née dans les années 70, tandis qu’Objectif-Moto qualifie également d’à l’ancienne les garde-boues chromés, les soufflets de fourche, le gros phare rond avec les clignos assortis, les cadrans chromés, l’affichage classique avec trip à rouleaux et molette de remise à zéro, le feu arrière carré et les commodos à gros boutons.
Pour Motorlive.tv, elle est plutôt gaillarde et vaillante avec son petit gabarit très maniable.


II. Les finitions

Les détails des finitions semblent plaire beaucoup à nos essayeurs.
Moto Journal parle de finitions soignées et irréprochables et Moto Magazine insiste sur le souci du détail, comme l’embout de pompe de graissage derrière la trappe de boîte à outils, ou encore « la classe » des protections en caoutchouc à soufflets pour les câbles de commande.
Sur Moto-Station, ce sont les pièces en acier coûteuses qui attirent l’attention.
Moto-Net a même noté que la peinture est traitée avec un revêtement nanofilm spécial pour éviter sa décoloration et met en avant des touches de finition remarquables, comme les inscriptions "SR" en relief sur les flancs ou encore le badge "Yamaha" à l'arrière de la selle.
Objectif-Moto parle d’authenticité par le look dans les moindres détails, tandis que Motorservices et Auto-Orange trouvent notre SR 400 très joliment finie et citent en exemple la paire de jantes à rayons et l’absence de lucarne à cristaux liquides.


III. Le démarrage au kick.

Ici, les essayeurs sont partagés.
Chez Moto Journal et Motorservices, l’absence de démarreur électrique est considérée comme un « moins » alors que Moto-Station  pense que le kick  n’est « rien qui ne puisse constituer un frein à l’achat ». L’essayeur de Moto Magazine affirme qu’un coup de botte suffit,  tandis que chez Moto-Infos, il semble qu’il ait fallu une bonne journée (!) pour prendre le coup, ce qui fait dire que l’absence de démarreur électrique pourrait faire fuir la clientèle féminine.
Monsieur Vintage considère au contraire que le kick est un bon point.
Moto Caradisiac pense qu’il risque de rebuter certains alors qu’Objectif-Moto trouve ça original.


IV. La maniabilité

Tous sont d’accord sur la facilité de prise en mains de la SR 400 dont Moto Journal dit qu’elle se manie sans effort, qu’elle est ultramaniable et facile à conduire.
Les superlatifs abondent : d’une facilite déconcertante pour Moto Magazine, l’archétype de la moto facile à appréhender, pas plus compliquée à conduire qu’une grosse 125 pour Moto-Infos et d’une agilité démoniaque pour Moto-Station.
Motor-Info.tv note qu’elle présente une très belle stabilité à haute vitesse alors que Moto-Net apprécie son agilité plaisante à basse vitesse.
Moto Caradisiac constate qu’elle maintient le cap sans difficulté et qu’elle se faufilera partout sans rechigner.
Moto Journal et Moto-Station rajoutent qu’elle braque dans un mouchoir de poche tandis que pour Moto-Infos elle braque carrément sur place.  
Motor-Net entre un peu dans les détails, trouvant le levier d’embrayage un peu dur, mais les commandes progressives pour démarrer sans difficulté et évoluer sans heurts.
La boîte de vitesse est qualifiée d’un peu lente  par Moto-Net, tandis que Motorservices estime les poignées et le guidon perfectibles.
Plusieurs essayeurs n’hésitent pas à parler d’excellence à propos de l’agilité de la SR 400.


V. L’ergonomie et le confort.

Alors que Moto Revue aime la position « relax » et la selle confortable, Moto-Station trouve cette dernière plutôt étroite mais moelleuse et d’une hauteur raisonnable.
Moto Revue parle d’une ergonomie tout ce qu’il y a de plus naturelle, avec une selle basse qui permet de « rattraper facilement les excès d’optimisme ».
Pour Moto-Net, la position de conduite est agréable pour tous avec une faible hauteur de selle. L’essayeur estime que la selle aide les amortisseurs arrière à mieux filtrer les gros chocs, mais il évoque des vibrations sensibles dans les cuisses et dans les fesses, quoi que discrètes au guidon et au repose-pieds : les vibrations semblent s’accentuer à mesure que l’aiguille du compte-tours s’approche de la zone rouge située à 7000 tr/min.
Motorservices apprécie la position de conduite qualifiée de très agréable et évoque une selle basse et ferme, mais confortable.
Pour Monsieur Vintage, la position de conduite est excellente.
Vrooom.be évoque toujours la selle, basse, longue, horizontale, qui permet à tout un chacun de trouver ses aises, le guidon tombant naturellement dans les mains.
Pour Moto Caradisiac, le réservoir fin laisse tout le loisir de se placer comme on veut, tandis que Motorlive.tv confirme une position de conduite très agréable, avec une selle étroite au confort ferme, et qu’Objectif-Moto décrit la selle, « d’une seule pièce, longue et rembourrée, d’une hauteur accessible ».
Enfin, Auto-Orange, qui renchérit sur la position de conduite très agréable, note que le guidon est plat, au cintre prononcé.


VI. Le moteur

Les essayeurs remarquent objectivement que la puissance n’est pas l’argument de la SR 400, mais la rondeur de fonctionnement et la souplesse à bas régime reviennent sous toutes les plumes.

Auto-Orange évoque la douceur du moteur que le couple rend très souple, disponible et « capable d’enrouler à allure citadine sur les cinq rapports ».
Vrooom.be trouve également le petit mono souple, acceptant de descendre jusqu’à 2000 tr/min et se montrant agréable dans les basses rotations.
Le couple est disponible dès les premiers tours selon Motorservices pour qui l’antipatinage est « d’origine et naturel… puisqu’il s’agit du moteur lui-même » !
Motor-Info.tv estime que l’on trouve largement son compte au niveau du feeling et de la progressivité.
Moto-Station juge le moteur feutré et la montée en régime linéaire, avec une boîte de vitesse qui s’exécute en douceur.
Monsieur Vintage qualifie le moteur de coupleux avec une bonne allonge à l’accélération et une mécanique pleine, ronde et souple, mais regrette la sonorité « légèrement étouffée ».
Pour Monsieur Vintage, c’est un superbe monocylindre très attachant et pour Motorservices un petit moteur vaillant très souple au comportement très sain.
La boîte à vitesse est qualifiée de douce par Motorlive.tv et agréable par Objectif-Moto, qui conseille de ne pas hésiter à retomber d’un ou deux rapports pour une meilleure reprise.
Motorlive.tv est même surpris par la ressource du moteur qui « s’envole un peu » au-delà de 5000 à 6000 tr/min.
Les changements de rapport se font « sans réfléchir » pour Moto Caradisiac qui trouve la boîte bien étagée mais regrette quelques vibrations à mi et haut-régime.
Vrooom.be note également les vibrations à partir de 4000 tr/min mais ne trouve pas cela « vraiment gênant », comme Monsieur Vintage qui trouve les vibrations discrètes et Motor-Info.tv qui ne détecte pas trop de vibrations à haut régime.
Pour les magazines traditionnels, Moto Magazine trouve la sonorité moins envoûtante que celle de la SR à carbu, Moto Revue salue la souplesse d’un monocylindre généreux et Moto Journal admet que le moteur ronronne comme un chat et que sa course le rend « plus souple en bas, plus rond, plus vif et mieux rempli sur la plage de régime utile de 2000 à 7000 tr/min ».
Malgré l’évocation de vibrations, Moto Journal et Moto Revue restent séduit par la montée des rapports en douceur et… la douceur – toujours elle – de fonctionnement.


VII. La consommation

Moto Journal souligne que la sobriété de la SR 400 permet des économies.
Moto-Net mesure une consommation de 4 litres au 100 km, de quoi parcourir 272 km avec le plein de 12 litres, tandis que Monsieur Vintage estime l’autonomie maximale à 290 km et que Moto Caradisiac trouve l’autonomie au top et va jusqu’à évoquer 300 km seulement avec 12 litres !
Motorservices la trouve « sobre comme un chameau » et Objectif-Moto parle d’un « appétit de moineau » - de 3,3 à 3,7 l au 100 km.


VIII. Les suspensions

Les avis sont aussi divers que partagés.
Moto Journal les trouve confortables mais sèches aux gros chocs.
Moto Revue hésite : sur le premier essai, les suspensions paraissent sèches, alors que lors de la balade au Japon, l’essayeur trouve à leur débattement qu’elles sont molles ! Lors d’un comparatif, un essayeur de Moto Magazine ira jusqu’à les qualifier de mollassonnes.
De façon plus mesurée, Moto-Station constate que la SR 400 a du mal à digérer les bosses.
Moto-Infos qualifie les amortisseurs de « basiques à souhait » mais affirme que malgré leur propension à chahuter sur les bosses, les suspensions parviennent à préserver un réel confort et ne nuisent pas au comportement à haute vitesse.
Moto-Net constate qu’elles sont réglées souples, surtout la fourche qui absorbe bien « la majorité des irrégularités » du bitume et que seuls les dos d’âne accusés tapent un peu dans les poignets.
Vrooom.be assure que les suspensions souples procurent un excellent confort et Moto Caradisiac affirme qu’elles font parfaitement leur office.
Motorservices trouve l’amortissement agréable mais précise qu’il faut se méfier des bosses et suggère de ne pas attaquer en plein angle.
Objectif-Moto trouve également les suspensions plutôt molles, mais « offrant un bon confort », la plupart des bosses étant bien amorties.


IX. Les pneumatiques

Auto-Orange, Motoservices et Motorlive.tv qualifient les Metzeler Perfect ME 77 à chambre à air d’origine d’excellents et leur attribuent une tenue de route et un comportement très rassurant sur route mouillée.
Moto Caradisiac parle également d’une excellente monte d’origine.
Motorservices explique que les pneus étroits favorisent la maniabilité et réduisent la consommation.
Moto-Net affirme que le grip des Perfect ME 77 se révèle suffisant et n’a jamais fait défaut au cours de leur prise de contact hivernale : seuls quelques tests de freinage ont finit par les faire décrocher.
Moto-Infos apprécie leur comportement parfaitement sain et les trouve même surprenants de grip et de feeling lors de leur essai sur le sec.
Moto Magazine confirme que les Metzeler n’ont pas à rougir de leur grip, alors que Moto Revue estime leur adhérence perfectible.


X. Les freins

Moto Journal considère que le tambour arrière bloque facilement.
Moto Revue parle d’un freinage de mobylette avec des freins peu sensibles qui nécessitent de coupler le tambour et le disque.
À l’inverse, Moto-Station  trouve le freinage « enfin à la hauteur [par rapport à la précédente version de la SR 400] : l’étrier mord le disque avec agressivité et le tambour peut assurer en virage et libérer la direction.
Pour Moto-Infos il n’y a pas de mauvaise surprise et il est difficile d’atteindre les limites de précision du tambour arrière ; la progressivité et la facilité de dosage du disque avant compense amplement son relatif manque de puissance.
Moto-Net estime le frein avant un peu trop timide à l’attaque du levier, ce qui demande de saisir fermement le levier droit pour stopper efficacement la moto - d’où une perte de précision ; cependant, Moto-Net trouve le frein arrière plus satisfaisant, le petit tambour se montrant à la fois plus mordant et plus dosable que le disque de 298 mm et son étrier à double piston, et de conclure « au final on se satisfait tout de même du freinage de ce petit roadster ».
Pour Motorservices, le freinage est un équilibre entre puissance et douceur, avec la fermeté du levier à l’avant et la bonne impression dégagée par le tambour ; par comparaison, le freinage de la SR 400 serait plus efficace que celui de la W800.


XI. La conduite en duo

Moto Magazine trouve que la passagère est bien assise et que les poignées sont bien placées. De même, Moto-Station  qualifie la poigne passager de généreuse et évoque un passager honorablement transporté mais sans confort excessif.
À l’inverse, Moto-Infos estime que le passager n’acceptera guère plus que quelques kilomètres avant de manifester une réprobation légitime, en raison de repose-pieds situés trop haut, d’une barre de maintien toute fine et d’une selle penchée qui tend à faire basculer vers le conducteur.
Pour Motor-Info.tv, il vaut mieux éviter les longues distances, car les repose-pieds sont hauts, la selle penchée et il n’y a « qu’une seule barre de maintien ».
Monsieur Vintage évoque la selle biplace et la poignée de maintien, ainsi que des repose-pieds un peu hauts.
Moto Caradisiac trouve que l’assise large et basse de 785 mm permet au passager de ne pas se croire comme un « crapaud sur une boîte d’allumettes ».


XII. Remarques en vrac


Moto Revue considère comme des « plus » la trousse à outils et la béquille centrale.
Moto-Station a mesuré au banc le couple et la puissance selon la norme 95/1/CE, et ne trouve pas les mêmes données que celles fournies par le constructeur : la puissance et le couple relevés au vilebrequin sont respectivement de 26,8 ch à 6394 tr/min et de 3,4 m.kg à 2815 tr/min.
Motor-Info.tv note que la lubrification par carter sec permet de vérifier très facilement le niveau d’huile, avec le bouchon jauge sur le dessus.
Motorservices regrette l’absence de bouton d’appel de phare, pourtant présent sur la version commercialisée en Europe. Le modèle essayé était-il prototype ?
Monsieur Vintage revient sur les avantages du kick, de la lubrification par carter sec et de la béquille centrale.
Motorlive.tv admet que l’on emprunte les voies rapides limitées à 110 km/h sans problème, mais que la SR 400 n’encourage pas à prendre l’autoroute.
Auto-Orange signale que l’on conduit sur le couple et que l’on ressent une impression de vitesse élevée due au petit gabarit.


XIII. Le prix


Élément subjectif par-dessus tout, le prix déclenche le débat.
Objectif-Moto aurait aimé avoir quelques chevaux de plus à ce prix.
Moto-Caradisiac estime que la SR 400 est un peu chère pour le rapport qualité/prix que l’on peut obtenir aujourd’hui, mais que trouver en occasion un modèle d’origine est quasi mission impossible.
Moto Journal trouve le tarif élevé.
Moto-Net déclare que la SR 400 fait payer trop cher ses charmes, mais que pourtant, comparée aux concurrentes, elle demeure moins onéreuse que les Triumph Bonneville, Moto Guzzi V7 et Kawasaki W800, et que la Royal Enfield Bullet Standard n’est pas donnée non plus !
Motor-Info.tv considère que le prix fait perdre le côté populaire de la SR 400 par rapport à la première version à carburateur. Cependant, une comparaison montre que le prix de la SR 400 de 1981 était légèrement plus élevé que le prix actuel en francs constants !
Moto-Infos note que les concurrentes bicylindre de la SR (Guzzi V7, Triumph Bonneville, Kawasaki W 800) sont encore « bien plus chères »…


XIV. En guise de conclusion(s).

Les conclusions des essayeurs pourraient figurer dans l’argumentaire de la SR 400, plus sûrement que celles de Yamaha !
Les titres des articles sont significatifs : « Vous reprendrez bien un peu de SR ? » pour Moto-Station, « Un grand bol d’hier » pour Motor-Info.tv, « Le retour de la mamie » pour Mono-Net, « Une longue histoire d’amour » pour Moto Caradisiac, « Le retour aux sources » pour Motorlive.tv et « Retour vers le passé » pour Objectif-Moto.
Pour Moto Magazine, la SR 400 est idéale en ville. Sur route, on retrouve le bonheur des choses simples. Authentique, elle fait revenir aux fondamentaux de la moto. Elle est un « pied de nez aux machines modernes surdimensionnées ».
Pour Moto Revue, la SR 400 n’est pas une moto, c’est LA moto. Attachante, fiable, confortable, intemporelle, elle impose une certaine philosophie de plaisir mécanique paisibles « dont nombre de pseudo vintages n’arrivent pas à donner le goût ».
Pour Moto-Net, face aux roadsters modernes, la SR 400 joue pleinement la carte du charme à l'ancienne... ou plutôt « de » l'ancienne, puisque c'en est une à proprement parler ! Elle possède un moulin destiné aux motards qui prennent le temps de vivre.
Pour Motorservices, la douceur et le couple sont ses principaux atouts. « Sportive à son époque lorsque l’on n’avait pas encore les références actuelles », la SR 400 est l’arme anti-radars.
Pour Vrooom.be, fausse « néo », la SR 400 ne joue pas dans la cour des Bonneville, V7, W800 et encore moins CB1100. Vraie « rétro », elle ne connaît qu'une seule concurrente, la Royal Enfield. Efficace en ville, où son gabarit et son poids menus sont renforcés par une maniabilité réjouissante, elle adore musarder sur les petites routes de campagne, dont on redécouvre la beauté à un rythme de promenade.
Pour Moto Caradisiac, elle est une des rares machines qui soit encore commercialisée dans son jus et quasi inchangée depuis sa création.





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